Né en 2001 à Abobo ( Abidjan ), KibrArt à l’Etat civil Koné Ibrahim est un étudiant à l’INSAAC aux beaux-arts de Côte d’Ivoire, travail et vit à Cocody Danga. il est Passionné par l’art contemporain et les arts visuels, il a participé à certains projets artistique d’Abidjan tels que (Concours Réminiscence Festival à son exposition collectives, Prix Alberto Cortina…). De ce qui concerne son travail artistique, il a eu à travailler sur un thème au cours de ses années académiques qui est LA SURCHARGE DANS L’UNIVERS DU TRANSPORT AFRICAIN, une pratique qui risquait de lui coûter la vie lors de son voyage en vacance à Taï (ville frontière avec Liberia à l’ouest de la côte d’ivoir). Un sujet dans lequel il traduisait l’impact de ces surcharges sur les véhicules non adaptés. Après quelques années de recherche, il oriente son travail sur l’homme et ses préoccupations interne ce qui est considéré comme une charge intérieure. De ce fait, il nous plonge dans son monde à lui où la démocratie est très avancé avec le progrès de la technologie les hommes sur terre arrivent à dire ce qu’ils pensent déchargeant leurs têtes de toute préoccupation ou message, créant ainsi un univers dans lequel ces personnages ont des écrans à la place de leurs têtes, un outil très essentiel dans ses créations. car pour lui chacun de nous est surmener (charge interne) par quelque chose, quelque soit notre rang social, cette chose devait se fait voir en projetant depuis son fond intérieur sur l’écran sa problématique pour qu’autrui puisse savoir de quoi on souffre ou besoin enfin de venir à notre aide vice-versa. Car la télé dans sa fonction basique et générale permet à l’homme d’être informer d’une actualité loin de soi en image. Ce qui cause (les guerres, les suicides, les jalousie, l’ego…etc.) sont des difficultés de communication entre l’Etat et le peuple ou entre nous les peuples.
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Né en 2001 à Abobo ( Abidjan ), KibrArt à l’Etat civil Koné Ibrahim est un étudiant à l’INSAAC aux beaux-arts de Côte d’Ivoire, travail et vit à Cocody Danga. il est Passionné par l’art contemporain et les arts visuels, il a participé à certains projets artistique d’Abidjan tels que (Concours Réminiscence Festival à son exposition collectives, Prix Alberto Cortina…). De ce qui concerne son travail artistique, il a eu à travailler sur un thème au cours de ses années académiques qui est LA SURCHARGE DANS L’UNIVERS DU TRANSPORT AFRICAIN, une pratique qui risquait de lui coûter la vie lors de son voyage en vacance à Taï (ville frontière avec Liberia à l’ouest de la côte d’ivoir). Un sujet dans lequel il traduisait l’impact de ces surcharges sur les véhicules non adaptés. Après quelques années de recherche, il oriente son travail sur l’homme et ses préoccupations interne ce qui est considéré comme une charge intérieure. De ce fait, il nous plonge dans son monde à lui où la démocratie est très avancé avec le progrès de la technologie les hommes sur terre arrivent à dire ce qu’ils pensent déchargeant leurs têtes de toute préoccupation ou message, créant ainsi un univers dans lequel ces personnages ont des écrans à la place de leurs têtes, un outil très essentiel dans ses créations. car pour lui chacun de nous est surmener (charge interne) par quelque chose, quelque soit notre rang social, cette chose devait se fait voir en projetant depuis son fond intérieur sur l’écran sa problématique pour qu’autrui puisse savoir de quoi on souffre ou besoin enfin de venir à notre aide vice-versa. Car la télé dans sa fonction basique et générale permet à l’homme d’être informer d’une actualité loin de soi en image. Ce qui cause (les guerres, les suicides, les jalousie, l’ego…etc.) sont des difficultés de communication entre l’Etat et le peuple ou entre nous les peuples.